La compagnie
Menée par Pierre Matras et Stéphane Batlle, la Compagnie Grenier de Toulouse est une équipe de plus de 46 personnes dont 4 metteurs en scène et 9 comédiens résidents. Le Grenier de Toulouse est une des compagnies théâtrales les plus emblématiques de sa ville et de sa région. Trois générations de comédiens sont unies pour faire perdurer cette aventure : les plus anciens ayant intégré la troupe en 1960. Chaque membre de l’équipe n’a qu’une seule ambition : se mettre au service du talent de l’autre.
Notre histoire
d'aujourd'hui à hier
2023
Hommage à Maurice Sarrazin
2017
Le 20 septembre la Maison du Grenier est inaugurée en présence du fondateur de la compagnie : Maurice Sarrazin. Sa réalisation a été rendue possible grâce au soutien de la Ville de Tournefeuille, du Conseil Départemental de la Haute-Garonne, de la Région Occitanie, des entreprises Mécènes et des donateurs particuliers. Cet équipement haut de gamme devient la salle de création et répétition de la troupe et le siège de l’Ecole d’Art Dramatique de la compagnie. Le lieu est proposé à la location pour les entreprises, associations, compagnies artistiques…
2012
Apprenant le départ de la Troupe de Roques-sur-Garonne, Claude Raynal, maire de Tournefeuille et Danielle Buys, première adjointe à la culture de la ville, demande au Grenier de Toulouse de venir s’implanter à Tournefeuille. Le Théâtre de l’Escale devient le nouveau lieu d’expression de la compagnie et un terrain a même été alloué pour qu’elle puisse y faire construire ses bureaux et sa salle de répétition. Une nouvelle page de l’histoire du Grenier de Toulouse s’écrit…
2011
Cinq saisons et 20 créations plus tard, le Grenier de Toulouse entame son ultime résidence à Roques-sur-Garonne, un appel d’offres à résidences ayant été lancé par la nouvelle municipalité. La compagnie est en recherche d’un nouveau toit.
2005
Jean-Claude Commenge, Maire de Roques-sur-Garonne, demande à cette nouvelle troupe du Grenier de Toulouse de s’installer au Centre Culturel « le Moulin », créé deux ans auparavant. Pierre Matras demande alors à Stéphane Batlle de partager avec lui la direction du Grenier, et avec toute l’équipe, ils vont faire de ce Moulin en à peine un an un lieu incontournable de la culture Toulousaine. On comptera 97 représentations, 7 créations et plus de 13 700 spectateurs la première année. S’en suivront quatre autres saisons pendant lesquelles le succès et le travail ne feront que s’amplifier.
2003
Malgré le succès et contre toute attente, la Mairie de Toulouse ne renouvelle pas la convention et nomme une nouvelle troupe et un nouveau directeur à la tête du Sorano. Le Grenier se retrouve alors sans théâtre mais avec un nouveau directeur, succédant à Maurice Sarrazin, et nommé par lui : Pierre Matras. La troupe connaît alors 2 années d’itinérance. Elle est accueillie dans différents théâtres de Toulouse.
2001
Maurice Sarrazin demande à Pierre Matras de le rejoindre à la direction du Théâtre Sorano.
2000
Maurice Sarrazin « réveille » son Grenier de Toulouse et demande à Dominique Baudis, Maire de la ville, de lui confier les clefs du Théâtre Sorano fermé alors depuis 2 ans. Maurice Sarrazin demande à une dizaine de comédiens de la ville et à certains de ses anciens élèves de rejoindre le Grenier pour ce nouveau défi : redonner au Théâtre Sorano ses lettres de noblesse. Ce retour aux sources est synonyme de succès. Plus de 53 000 spectateurs lors de la troisième saison 2002-2003 viennent applaudir le travail de la Compagnie. Des spectacles tels que La Mégère apprivoisée de Shakespeare, L’Avare de Molière, tous deux mis en scène par Maurice Sarrazin, Tailleur pour dames de Feydeau ou Lynda et Alphonse, d’après les chansons de Lynda Lemay, mis en scène par pierre Matras, connaîtront un succès national. C’est pendant cette période, et sous l’œil bienveillant de Maurice Sarrazin, que se fédèrera la nouvelle équipe qui aujourd’hui encore assure la pérennité de la Compagnie.
1985
Maurice Sarrazin met le Grenier de Toulouse en sommeil et monte à Paris pour y créer une école d’Art Dramatique. Elle devint une des écoles les plus reconnues de la Capitale. Elle y accueillit pendant sept ans des élèves tels que Vincent Cassel, Anne Roumanov ou Laurent Lucas.
1981
Maurice Sarrazin enregistre pour France 3 une vidéo dans laquelle il retrace l’histoire du Grenier de Toulouse.
1970
Ouverture du théâtre de la Digue construit par la troupe elle-même suite à son éviction du Sorano par la municipalité qui désirait le diriger à son gré. La troupe y restera 15 années.
1965
Maurice Sarrazin revient sur l’histoire du Grenier de Toulouse dans une émission de l’ORTF.
1964
Devant le succès national de la troupe, la Mairie de Toulouse aménage pour le Grenier, toujours Centre Dramatique National, l’auditorium du Muséum d’Histoire Naturelle pour en faire le Théâtre Sorano.
1951
La Mégère apprivoisée de William Shakespeare au théâtre de l’Athénée qui fit de Daniel Sorano un acteur incontournable de la scène française.
1949
Premier grand succès national : Le Carthaginois de Plaute créé au Vieux Colombier à Paris. Le Grenier de Toulouse devient alors le 3ème Centre Dramatique National créé par Jeanne Laurent, la fondatrice de la décentralisation.
1945
Création par Maurice Sarrazin du Grenier de Toulouse dans le grenier de ses parents avec Simone Turck, Jacques Duby et Pierre Nègre.
Les comédiens
résidents
Les comédiens
Joan Guilley
J’ai commencé mes études théâtrales après mon lycée. J’ai appris l’art dramatique durant une première année à Paris avant de m’inscrire à l’école LEDA, sur Toulouse. Une fois diplômée de « L’Ecole De l’Acteur », j’ai joué pour la première fois « Le bourgeois gentilhomme » avec la compagnie du Grenier de Toulouse, justement! Bien des pièces ont suivi avec cette même troupe: « Vol au dessus d’un nid de coucou », « Désiré », « Oscar », « L »… Et bientôt ce sera « C’est encore mieux l’après-midi » de Ray Cooney.
- activités extérieures :
En parallèle je joue beaucoup avec la compagnie Le Périscope. J’ai aussi eu la chance d’être plusieurs fois sur la scène du Capitole de Toulouse, dans des opéras, en tant que comédienne.
Également au théâtre des 3T, durant plusieurs années, avec la célèbre pièce « Les monologues du vagin ».
J’aime parfois participer à des tournages, même si mon coeur appartient au théâtre.
- Sa phrase :
« C’était une bonne journée de travail! ». À lancer dès le début de la journée, justement… C’est plus amusant!
Joan Guilley
Les comédiens
Yohann Villepastour
J’ai fait une option théâtre au lycée Laure Gatet à Périgueux. Puis Léda (l’école de l’acteur) à Toulouse de 2011 à 2014. Je ne savais pas bien ce que je voulais faire de ma vie quand il a fallu commencer à s’orienter professionnellement à la fin du collège. Et comme il fallait absolument choisir une option pour le lycée, je me suis dit que l’option théâtre serait la plus amusante. Surtout que ma grande sœur avait déjà fait exactement le même lycée avec la même option. Je l’ai juste copiée. C’était plus simple. Puis ça a recommencé à la fin du lycée, il fallait choisir les études pour le métier qu’on ferait ensuite toute notre vie. Je ne pense pas mettre jamais décidé à faire une école de théâtre mais je ne pense pas non plus avoir jamais pensé que je ferai autre chose. Je ne voulais pas travailler. Je n’ai jamais voulu le faire. Je dis ça parce qu’on travaille énormément au théâtre malgré les aprioris qu’on peut avoir sur ce métier. Mais pour moi ce n’est pas du travail comme je l’entends.
- Les débuts au Grenier :
À Léda, j’ai rencontré Laurent Collombert. C’était mon professeur. À la fin de mon cursus, il m’a proposé de jouer dans la prochaine création du Grenier de Toulouse : Le Bourgeois Gentilhomme. J’ai passé une audition devant Pierre Matras et Stéphane Battle et je l’ai eue. Mes premiers rôles avec le Grenier était celui de Cléante et le Maître Tailleur.
- Une anecdote :
Sur le spectacle Les 3 Mousquetaires, j’étais chargé en coulisse d’aider Laurent à se changer entre son rôle d’Atos et celui de Rochefort. Les deux costumes étaient totalement différents. On n’avait vraiment pas beaucoup de temps. Souvent, Laurent sortait de scène en Atos et rentrait dans la scène juste après en Rochefort. Il y avait peut-être 5 ou 6 changements comme ça dans le spectacle. Il se changeait entièrement de la tête aux pieds. Moi, je m’occupais du bas et lui du haut. Il sortait de scène et immédiatement je tirais sur son pantalon pendant qu’il enlevait sa veste. J’enlevais ses bottes et je lui enfilais son autre pantalon pendant qu’il se débrouillait avec son haut. Puis j’essayais de lui chaussais ses nouvelles bottes, l’une après l’autre pendant qu’il ajustait son chapeau et son cache oeil en équilibre sur une jambe. L’espace était étriqué et on y voyait rien. Il fallait être précis et optimiser chaque geste. Le problème c’est qu’on était de plus en plus fatigués à chaque changement parce que le spectacle était long et intense. On courrait dans tous les sens pendant trois heures. Et avec la fatigue, le stress et la situation absurde dans laquelle on se trouvait, la moindre connerie dite de l’un ou de l’autre nous déclenchait un fou rire. Et je nous revois, moi essayant de chausser une botte à Laurent qui manque de tomber pendant qu’il se débat avec sa veste. Tous les deux pleurant de rire littéralement, avec nos deux corps pris de spasmes, en essayant de ne pas faire de bruit. Et enfin Laurent à l’entrée de la coulisse se retenant de rire et essuyant ses dernières larmes avant de rentrer sur scène.
- Les rôles qui l’ont marqué au sein du Grenier :
Cléante dans le Bourgeois Gentilhomme.
Le petit Billy dans Vol au-dessus d’un nid de coucou.
Le Bret dans Cyrano de Bergerac.
Ascanio Petrucci dans Lucrèce Borgia
- Activités extérieures :
Avec trois autres personnes, on a fondé la compagnie du Théâtre du Rocher avec laquelle on crée des spectacles depuis 2015. Je travaille également avec la compagnie Le Bruit Des Gens et la compagnie Voraces en tant que comédien et metteur en scène. Je donne des cours adultes au Grenier de Toulouse.
- Sa phrase :
« C’est bien plus beau lorsque c’est inutile. »
Yohann Villepastour
Les comédiens
Lucas Saint Faust
Aussi loin que je m’en souvienne, depuis que j’ai commencé le théâtre enfant à Dakar, au Sénégal, j’en ai toujours fait entouré d’ami.es plus ou moins proches, et parfois même en famille. De là aussi ma joie, après quelques années d’arrêt pour valider une licence de philosophie et garder des chèvres en Ariège, de faire de nouvelles rencontres à l’école de théâtre, puis créer une compagnie avec mes amis, et intégrer le Grenier. Oui, au Grenier j’ai retrouvé la joie des premières années, de jouer avec les ami.es, et d’être un peu comme en famille parfois même !
Ma première fois, c’était les Misérables. Un spectacle vraiment grandiose, animé d’un solide esprit de troupe. Je suis arrivé là comme un enfant, avec des yeux ouverts grands comme ça.
Des anecdotes, mais il y en a tellement ! Celles qui me reviennent c’est surtout la vie de coulisse, quand sur scène se déroule l’action que tout le monde retiendra et verra, mais que derrière les rideaux c’est comme une autre pièce, une deuxième, l’envers de celle que le public voit, qui se joue, une pièce silencieuse, agitée, mais toujours très drôle. De ces pièces mystérieuses, oui il y aurait tellement d’anecdotes à raconter, mais est-ce que ce ne serait pas dissiper un peu de la magie du théâtre ?
Un des rôles qui m’a le plus amusé, c’est la Duègne, sur Cyrano de Bergerac. De jouer une vieille servante sous le masque de Pulcinella, tordu sur mon over board que cachait cette énorme robe noire bouffante, avec une voix éraillée et des gestes de vieille grenouille de bénitier, oui ça c’était vraiment que du bonheur. Choisir une pièce marquante, c’est difficile, parce que toutes l’ont plus ou moins été, que ce soit pour la pièce en elle-même, le rôle, ou même la joie d’être ensemble.
À côté, très proche en fait, il y a le Rocher, la compagnie créée en 2015, avec Clarice Boyriven, Nathan Croquet, et Yohann Villepastour. Une toute autre compagnie, un tout autre théâtre, mais tout autant de joie de créer ensemble, de partager cette part de notre vie. Il y a aussi les ateliers à l’EAD, avec les adolescent.es et les adultes, qui est pour moi une expérience vraiment émouvante autant qu’enrichissante, d’accompagner des amateur.ices dans la création d’un spectacle.
Puis il y a le reste, bien sûr, tout ça qui fait une vie, mais ça c’est autre chose.
Sa phrase : « On a le temps non ? «
Lucas Saint Faust
Les comédiens
Laurence Roy
Intègre la troupe du Grenier de Toulouse en 2001.
Elle mugit, elle rugit, elle fulmine mais ne beugle jamais. Spécialiste de l’accident scénique, elle sait tout faire : louper une marche, s’éclater le pif sur le plateau tout en enflammant la scène !! Aucun grand rôle ne lui échappe. Aussi insupportable que polyvalente, elle est également auteur et metteur en scène. On se demande vraiment pourquoi les femmes en sont jalouses…
Sa phrase : « Si, si, je vous jure que je sais mon texte ! »
Laurence Roy
Les comédiens
Rose-Hélène Michon
Intègre la troupe du Grenier de Toulouse en 2015
En 2008 elle intègre LEDA, L’Ecole De l’Acteur à Toulouse et travaille notamment les oeuvres de Tchekhov sous la direction de Patrick Pezin, le masque de commedia avec Laurent Collombert et la danse contemporaine avec Neige Salinas. Diplômée de cette formation en 2012, elle part à la recherche de nouveaux projets artistiques. Elle se forme au doublage à AGM Factory, participe depuis lors à de nombreuses versions françaises, tel que Callgirl de Mikael Marcimain ou Mindscape de Jorge Dorado. Elle rejoint la distribution de Autour de ma Pierre il ne fera pas Nuit par la compagnie L’Etoile d’Araignée pour le Festival d’Avignon Off2013 et rencontre les Patropathes, compagnie jeune public avec qui elle collabore depuis 2012.
En 2017 elle rejoint l’équipe de formation pour les cours donnés à la Maison du Grenier.
Rose-Hélène Michon
Les comédiens
Laurent Collombert
Rejoint la troupe du Grenier de Toulouse en 2007.
Il est depuis présent dans la majorité des créations de la compagnie. Récemment, il s’illustre dans le seul en scène L’Etranger d’après le roman d’Albert Camus.
Sa phrase : « Si c’est pour faire un effet, c’est pas la peine les gars !!! »
Laurent Collombert
Les comédiens
Stéphane Batlle
Intègre la troupe du Grenier de Toulouse en 2001.
Rejoint Pierre Matras à la direction de la troupe en 2005.
Sur les planches, il fut les fourbes, les énervés, les atrabilaires au verbe haut et à l’œil parfois vide ! Superbe ! Et il peut l’être encore… Cependant ses tempes grisonnent. Son talent se modifie donc, mieux se bonifie… Il sait maintenant faire les cocus.
Sa phrase (elle lui vient d’un philosophe grec) : « Il faut sortir la flotte du port ! »
Stéphane Batlle
Les comédiens
Pierre matras
Rejoint la troupe du Grenier de Toulouse en 2000.
Est nommé assistant à la direction du Théâtre Sorano en 2001.
Est nommé directeur de la compagnie par Maurice Sarrazin en 2003.
Sur les planches, il fut les jeunes premiers amoureux et naïfs. Superbe! Et il peut l’être encore…
Cependant ses tempes grisonnent. Son talent se modifie donc, mieux se bonifie…Il sait maintenant faire le grincheux, le laissé pour compte et le libidineux.
Sa phrase : « Sus à la psychologie, du muscle, rien que du muscle ! »
Pierre matras
Les comédiens
Muriel Darras
Rejoint la troupe du Grenier de Toulouse en 2001.
Comique gouailleuse à la voix enchanteresse, elle sait maintenant faire la tragédienne et l’amoureuse transie qui pleure et meurt !
Sa phrase : « Tout va bien se passer ! »
Muriel Darras
invités
Céline Bernat
en coulisses
fanfreluches et decorum
Damien Drouin
Régisseur - Créateur lumière
George Dyson
Créateur Son
Sa phrase : « Tu veux quoi ? J’vais t’le faire. »
Alessandro Pagli
Créateur Lumière
Sa phrase : « Tu veux quoi ? J’vais t’le faire. »
oseille et paperasse
Claire Gontaud
Chargée de production - Presse et communication
Nathalie Quirin
Coordinatrice de la Maison du Grenier et de l'École d'Art Dramatique
Sandrine Marrast
Chargée du mécénat et des relations avec les entreprises
Marie-Christine Coulon
Chargée de diffusion
Sophie Séguin
Directrice administrative
Gilbert Petit
Secrétaire
Marie-Odile Aubrun
Trésorière
Christian Ferrant
Président
les bénévoles
Couseuses
Toqués
Colporteurs
Aiguilleurs
Rejoindre les clubs de bénévoles
location
Entreprises et clubs d’entreprises, sociétés de production audiovisuelle et d’animation, agences en communication et événementiel, équipes artistiques et associations…
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évènementiel
Le Grenier de Toulouse vous propose des prestations personnalisées, adaptées à vos évènements : séminaires, lancements, conventions…
Show improvisé ou objet théâtral sur mesure, nous donnons vie à vos envies.
les faux serveurs
un service en folie
C’est un véritable show d’improvisation que vous offrent nos « faux serveurs » maladroits, un peu obsessionnels, saugrenus, absurdes ou facétieux. Nos comédiens se mêlent au personnel de service et provoquent immanquablement l’hilarité de vos invités. Une animation théâtrale qui s’intègre parfaitement à un cocktail ou un dîner, crée la surprise et laissera un souvenir impérissable de votre soirée.
objet théâtral sur mesure
À partir de la thématique et du format de votre évènement, la Compagnie Grenier de Toulouse sera votre laboratoire d’idée : séminaires, lancements, conventions, assemblées générales, commémorations. Le dynamisme et la créativité de ses comédiens, auteurs, metteurs en scènes, scénographes, techniciens, décorateurs et costumiers, seront les partenaires idéaux de vos évènements et animations créatives.
Exemples de thématiques :
- « Si le temps m’étais conté »
- « La réussite a-t-elle un sens ? «
- « L’économie collaborative »
- « Faire de son entreprise une œuvre d’art »
- « L’innovation par la créativité »
- « Sexe, morale et entreprise »
Pour plus d’infos
nous contacter au 05 31 22 10 15
L’école d’art dramatique
On se fait plaisir au théâtre. Acteurs comme spectateurs. Chacun, chacune vient au monde à son tour et le théâtre nous en rappelle chaque soir toute la beauté et toute l’urgence.
Pourquoi pratiquer le théâtre, alors ? Pour s’y retrouver, pardi !
Seul et ensemble, tout à la fois !
Le mécénat
Nos généreux mécènes nous sont essentiels. Ils ont prouvé une nouvelle fois leur confiance et leur solidarité dans notre projet artistique et sociétal.
Ensemble, nous continuons de grandir !